La CFDT en France

La CFDT ce n’est pas une organisation d’avant-garde, regroupant une petite élite de militants éclairés, convaincus qu’il détiennent à priori, savoir et vérité et qu’ils ont pour mission de faire le bonheur des salariés sans eux et malgré eux.

Notre conception du syndicalisme est tout autre. C’est celle d’un syndicalisme de transformation sociale qui se donne comme ambition de faire évoluer la société vers plus de progrès et de justice.

Cela suppose que nous soyons capables de rassembler les salariés pour défendre leurs intérêts quotidiens et construire le changement social. Syndicalisme de proposition : parce que nous refusons de voir le syndicalisme se laisser enfermer dans un rôle étroit protestation et de contestation laissant à d’autres, les partis politiques, le choix de décider pour nous.

 Syndicalisme d’adhérent, parce que le syndicalisme puise sa légitimité d’abord dans la participation des salariés. La CFDT veut offrir la possibilité aux salariés de devenir acteurs de leur destin individuel et collectif.

1ère organisation syndicale avec 868 000 adhérents.

La CFDT repose sur une multitude de structures et pour organiser ces structures nous avons fait le choix du fédéralisme.

L’âme de la Confédération Française Démocratique du Travail, c’est le SYNDICAT (voir la page Wikipedia et le site de la CFDT)

La Section Syndicale de Turbomeca fait partie du Syndicat des Métaux du Béarn qui lui-même est rattaché au côté professionnel à l’Union Mines Métallurgie d’Aquitaine (U.M.M.A.). Les Syndicats de la Métallurgie avec leurs Unions Mines Métaux régionales forment la Fédération Générale des Mines et de la Métallurgie (F.G.M.M.).

Le Syndicat est aussi rattaché localement à l’Union Interprofessionnelle des Syndicats du Béarn (U.I.S.).

C’est l’ensemble de toutes les Fédérations (métaux, chimie, services, santé, etc…) qui forme la Confédération – la CFDT -… Voilà très succinctement présentées les structures de la CFDT.